Éditions du Linteau, Paris, 2004, 160 p.
À l’écart de la "communication" qu’il exécrait, Riboulet a construit une œuvre qui frappe par sa cohérence : une continuelle adaptation de la "révolution moderne" des années 1920 aux hommes de notre temps.
Alors qu’il sait que ses jours sont comptés, il retrace ici son itinéraire avec l’humilité de celui qui sait ce qu’il reste à faire, à construire dans tous les sens du terme, avec la fierté de celui qui pense qu’"un architecte doit garder cette capacité de révolte qui fonde son travail".